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Les stratégies
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D'abord conçu de façon intuitive, comme toutes les thérapies manuelles d'ailleurs incluant l'ostéopathie, cette stratégie, qui porte le nom de son visionnaire, Tom Bowen, se démarque par une caractéristique singulière qui, grâce à la compréhension de la physiologie qui s'y rattache, peut maintenant s'appliquer favorablement à toutes les thérapies manuelles : la pause thérapeutique, ou "homoeostasis in progress". Ce qui semblait une extravagance s'avère maintenant d'une importance fondamentale
Bowen, c'est la MyoNeuroModulation
Le délicatesse est sans contredit ce qui caractérise le mieux cette stratégie empreinte de douceur. Pourtant, la complexité de la théorie développée par Diane Jacobs pour expliquer tant de tact et de générosité dans son application nous laisse songeur à prime abord. Ce n'est qu'en plongeant tête première dans son cheminement intellectuel que l'on arrive à la suivre, puis que l'on trouve son propre chemin, fascinant et semé d'embuches dont la résolution, chaque fois, nous apparaît comme une révélation. Cette technique n'a pas fini de faire parler d'elle.
La DNM, c'est la DermoNeuroModulation
La plus rapide, la moins complexe et pourtant celle qui bat tous les records, dans des conditions bien précises, par son action rapide et immédiate est bien la méthode Niromathé. Dr Raymond Branly, inspiré lui-même par la méthode Moneyron (thérapie de la somesthésie aussi), et par différentes techniques de reboutement a parfaitement su élaborer ce système de traitement neuro-cutané. Pourtant, à travers la lunette de la neuroanatomie et de la neurophysiologie, cette méthode gagne à être mieux expliquée, comprise, et appliquée. La vivacité de la méthode et la simplicité de son application demandent une expertise poussée en neurophysiologie pour s'y retrouver. Nous y arriverons.
Niromathé, c'est la DNM Dynamique
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