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Les piliers physiologiques
de la thérapie manuelle

tome I :
les fibres afférentes intéroceptives

La grande majorité de ceux et celles qui bénéficient de soins de thérapie manuelle, toutes méthodes confondues, témoignent d’une amélioration de leur qualité de vie, d’un apaisement important ou même parfois complet des douleurs. De plus, on constate régulièrement d’excellents résultats plus généraux comme un sentiment de détente et celui d’avoir un corps plus souple ; certaines personnes vont même retrouver le sommeil et parlent d’un sentiment profond de bien-être, voire de bonheur. Pourquoi ? Il doit bien y avoir des explications « naturelles ».
Si la personne va mieux, si son état général s’est amélioré, c’est que son organisme a retrouvé son équilibre ; et le retour à l’équilibre ça passe par un changement dans l’homéostasie. S’il en est ainsi, ça signifie que quelque chose est survenu dans sa physiologie et que les paramètres ont changé. C’est inévitable. Mais qu’est-il arrivé et de quelle façon cela a-t-il pu se produire ?
L’étude des fibres sensitives de petit diamètre qui innervent tous les tissus du corps et qui sont sensibles à tous les changements des conditions mécaniques, thermiques ou chimiques des tissus éclaire un pan de la thérapie manuelle resté dans l’ombre jusqu’à aujourd’hui.
Ces fibres intéroceptives sont l’objet principal du tome I de la série des « Piliers physiologiques de la thérapie manuelle ».
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